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Origine1975
11 décembre 2015

Tome 8 : Nouvelle génération : 23

Chapitre 23

      La folie au manoir Oda Miori commença à se calmer à l’heure du coucher pour les enfants en bas âge. Kaigan et sa femme eurent bien du mal d’ailleurs à mettre au lit leurs deux enfants. Akira eut pitié d’eux et il vint leur donner un coup de main. Les deux petits adoraient leur papy Akira et il lui obéissait au doigt et à l’œil.

      Renko et Carlin affichaient un sourire de béatitude. Ces deux hommes aimaient voir leur maison sans dessous dessus. Pour eux, une ambiance comme cette soirée montrait à quel point, leurs locataires étaient heureux de vivre. Et tout ce remue-ménage, il le devait à une seule personne.

      Leur petite fille s’ennuyait tellement de ne pas avoir son frère dans les pattes comme elle le criait avait eu la brillante idée d’en faire voir des vertes et des pas mure à ses pères et aux autres membres de la famille. Et bien évidemment comme dans l’après-midi, Hans leur rendit visite en compagnie de son mari. Il aida avec grand plaisir la jeune fille à énerver son jumeau et son père également.

      Moira et Sara, les deux jeunes sœurs de Rafael furent conviées à y prendre part, mais elles restèrent tout de même dans leur réserve. En tout cas, leur nuit chez Oda Miori, elles s’en souviendront pendant très longtemps. Elles ne se souvenaient pas avoir ri autant à une seule journée. Leur surprise au début fut surtout l’attitude de tous les adultes de cette maison. Aucun d’eux ne les oublia après les présentations. Ils faisaient en sorte qu’elles ne soient jamais seules surtout quand Carline était aux prises avec ses propres pères ou d’autres membres.

      Celle-ci d’ailleurs leur avait fait le tour de la propriété. Moira en avait été intimidée devant cette grande maison. Même si Carline et Nael ne faisaient pas étalage de leur fortune à tout va, il fallait bien reconnaitre que les deux Oda n’avaient jamais connu la misère. Même si elle le cacha au plus profond d’elle-même, Moira ressentit une certaine jalousie envers son amie. Elle pouvait comprendre le ressentiment des autres élèves envers ces gosses de riche.

      Dans un même temps, elle s’en voulait de ressentir ce sentiment. Carline était son amie, sa première amie. La jeune fille se demandait si sa petite sœur ressentait les mêmes choses qu’elle. Et son frère ? Elle savait bien qu’il avait déjà vu le manoir, mais est-ce qu’il changerait d’attitude envers Carline quand il comprendrait à quel point elle ne vivait pas dans le même monde qu’eux ?

      Quand Nael rentra en fin d’après midi, il se fit vite embarquer dans la folie ambiance. Quand le frère et la sœur furent réunis, la folie décupla. Même les animaux furent touchés quand Mat manqua de tomber à cause de la cavalcade dans le couloir menant vers les escaliers. Bien évidemment, le pourchassé était toujours le même un magnifique rouquin qui avait encore ennuyé ses compagnons alors que ceux-ci dormaient sagement. Il n’y avait pas à dire, tel maître, tel chat.

      Quand finalement, le calme parvient à gagner le manoir, Nael s’échappa vers la bibliothèque. Enfin tout du moins, c’est ce qu’il voulait, mais il se retrouva devant une porte fermée à clé. Il fronça les sourcils. Quel couple avait décidé de lui prendre sa salle fétiche ? Il soupira fataliste.

      Haussant les épaules, il fila vers sa chambre. Il éjecta ses chaussures puis il se jeta sur son lit. Il regarda son portable. Et... nouveau froncement de sourcil ! Il n’avait plus de batterie. Il se laissa tomber en arrière en riant. Mais quel idiot ! Il se redressa rapidement et il fouilla dans sa chambre après son chargeur.

      Quand il lui mit enfin la main dessus, il soupira de soulagement. Il retourna sur son lit en attendant que le chargeur se remplisse un peu avant de rallumer son portable. Il prit le nouveau roman fantastique offert par son père Erwan. Il plongea littéralement dans l’histoire prenante et il en ressortit à minuit passé.

      Il se jeta sur son téléphone pour le rallumer. Dan lui avait promis de lui envoyer un message. Fébrilement, Nael observa ses textos, mais aucun ne venait de la personne voulue. Profondément déçu, il se laissa glisser au sol. Il n’avait pas rêvé n’est-ce pas ? Dan lui avait tenu la main tout le long du trajet. Et il rougissait comme lui quand Rafael se moquait gentiment d’eux et les appelait « les amoureux transis ».

      Une ombre apparut dans le visionnage de Nael. Il leva les yeux vers sa sœur. Carline s’installa auprès de lui en silence. Il lui adressa un petit sourire. La jeune fille se pencha et déposa un baiser sur sa joue.

— Tu es en train de te poser trop de questions, Nael. Si Dan ne t’a pas appelé, c’est qu’il doit avoir une raison. Attends demain et tu lui enverras un message. Et si monsieur ne daigne pas répondre et bien là tu as le droit de l’engueuler.

      Nael eut un petit rire.

— Comment fais-tu pour toujours savoir ce qui me tracasse ?

— Parce que je suis un génie comme grand-père.

— Ne va pas lui dire, il te montrerait à quel point tu es encore loin de le rattraper.

      La jeune fille enserra ses jambes de ses bras et posa sa tête sur ses genoux. Elle gloussa.

— Je me demande si un jour on y arrivera. C’est pas gagner, gagner !

— Où as-tu mis Moira et Sara ?

— Dans mon lit. Elles dorment à point fermé. Elles ont eu trop d’émotion aujourd’hui. Elles n’ont pas l’habitude. Moira s’en veut parce qu’elle a ressenti de la jalousie et de l’envie.

      Nael observa sa sœur, étonnée.

— Elle te l’a dit ?

— Non, pas ouvertement. Mais elle semblait mal à l’aise à un moment donné. Ah ! Je ne sais pas trop comment lui faire comprendre que je ne lui en veux pas. Elle a eu une réaction légitime.

— Et Sara ?

      Carline étira ses jambes avant de se relever. Elle aida son frère à en faire autant.

— Elle a failli pleurer en observant Akemi jouer avec sa fille. Mais, parfois Kaigan a du flair. Il l’a invité à les rejoindre. Sara était toute timide au début. Et puis, Akemi lui a parlé pendant un moment. Et Sara s’est jetée dans ses bras tout rayonnants.

      Sans la moindre gêne, Carline se coucha dans le lit de son frère. Celui-ci porta les poings à ses hanches.

— Qu’est-ce que tu fiches ?

      Serrant un oreiller dans les bras, Carline se mit à bâiller et répondit :

— Je squatte.

      Nael secoua la tête fataliste. Il la rejoignit et se serra contre elle.

— Tu sais quoi Lili ?

— Mmmh ?

— Je l’aime notre famille.

— Moi aussi. Bonne nuit, Nael.

— Bonne nuit sœurette.

      Le lendemain, Nael se réveilla en sursaut. Sa sœur ne se trouvait déjà plus auprès de lui. Intrigué, il jeta un coup d’œil à son réveil et il se leva en vitesse. Il était déjà plus de dix heures. Il devait vraiment avoir sommeil.

      Il regarda son téléphone. Dan n’avait toujours pas appelé. Le garçon soupira. Il envoya un texto à l’intéressé. Puis, il s’échappa au rez-de-chaussée pour prendre son petit déjeuner.

      Ses grands-parents s’y trouvaient toujours en compagnie d’Erwan et Kaigan. Ils étaient en pleine discussion, mais qui s’arrêta en le voyant arrivé ? Intrigué, Nael se demanda bien le pourquoi du comment. Mais rien dans l’attitude des adultes ne lui permettait d’en apprendre davantage. Comme toujours dès qu’il fut installé, une assiette de crêpes se retrouva devant lui. Le garçon les dévora en moins de deux.

— Quel goinfre ! Il ne m’en a pas laissé une seule, bouda Carlin.

      Nael jeta un coup d’œil à son grand-père. Celui-ci lui adressa un clin d’œil.

— Je suis sur que papy Ren t’en a donné beaucoup plus papy Carlin. La gourmandise est un très mauvais défaut.

— Pff ! T’es vraiment pas drôle, Nael. Carline au moins m’en a laissé.

— C’est étonnant.

— Ta sœur a vu un beau rouquin. Elle a préféré sa compagnie, lui répondit son père Erwan.

      Nael se tourna vers son père surpris. Léon et Hans étaient retournés chez eux la veille. Qui cela pouvait-il être ? Erwan sourit à son fils. Il lui ébouriffa les cheveux.

— Bah ! Ca alors, mon fils n’est pas encore entièrement réveillé. Tu es plus alerte d’habitude. Ashula est venu pour les filles et Rafael l’accompagne.

         La compréhension traversa le regard gris orageux de Nael. Mais, quel boulet aujourd’hui ! Quel autre roux pouvait couper l’appétit à sa sœur à part Léon sinon Rafael Blackwood ?

— Moira et Sara doivent être aux anges.

         Erwan observait toujours son fils le mettant mal à l’aise. Kaigan se leva et quitta la pièce pour rejoindre sa femme.

— Y a un problème papa ?

         Erwan hésita un instant. Puis, il finit par expliquer.

— Je vais te laisser rendre visite à Dan aujourd’hui.

— Hein ? Ne put s’empêcher de s’exclamer Nael surpris et en même temps ravi.

— Quoi ? Ne veux-tu pas aller voir ton amoureux ?

         Nael sentit ses joues surchauffer. Il devait rouge comme une écrevisse.

— C’est pas mon amoureux, papa. Enfin pas encore, murmura-t-il tout bas, mal à l’aise.

— Ne chipote pas mon garçon, lança son grand père Carlin. C’est tout comme !

— Mais... mais pourquoi tout à coup tu... euh.. Bafouilla Nael, perturbé.

         Erwan faillit rire de la confusion de son fils, mais il se retient à temps. Il lui devait au moins une explication.

— Nous avons reçu un appel de Shin. Il prend un congé avec Sawako. Ils s’en vont au Japon en compagnie de Mako.

         Nael sentit son cœur se serrer. La panique commençait à poindre. S’en apercevant Erwan le rassura.

— Dan reste ici. Il va séjourner chez Xavier.

— Mais pourquoi sont-ils partis, papa ?

         Erwan jeta un coup d’œil rapide à Carlin et Renko. Puis, il annonça :

— Je pense qu’il vaut mieux que ce soit Dan qui te le dise. Tu promets de faire attention sur la route, Nael ?

         Le garçon leva la tête encore plus étonnée. Son père acceptait qu’il y aille seul. C’était une nouveauté.

— Ayez papa poule reparle !

         Erwan lança un regard noir à Carlin. Nael lui se trouvait aux anges et inquiet en même temps. Il ne perdit pas son temps d’ailleurs. Il fila comme si le diable était à ses trousses sous le rire des trois adultes. Il ne pensa absolument pas à saluer son ami Rafael. Il mit son manteau, vérifia si son porte-monnaie se trouvait bien en place, puis avant qu’un adulte ne l’interpelle, il s’échappa en courant de la maison.

         Dans le salon, Rafael restait auprès d’Ashula. Il se sentait mis à nu devant le père de Carline et de Nael. Luce tout en saluant son invité observait du coin de l’œil le jeune homme. Le garçon ressemblait à un animal sauvage blessé. Même s’il se sentait bien dans son nouvel environnement, il n’osait pas encore donner son entière confiance.

         La porte s’ouvrit avec fracas faisant sursauter les trois hommes. Carline fit son apparition en compagnie de ces deux invités. Luce remarqua aussitôt le soulagement du garçon en les voyant arrivés. Moira et Sara poussèrent un cri de joie en apercevant leur frère. Pourtant, elles ne firent aucun geste vers lui. Ashula les regarda en secouant la tête.

— Vous êtes exaspérants tous les trois, finit-il par dire. Pourquoi ne sautez-vous pas dans les bras de votre frère si vous êtes contente de le voir ? Et toi ? Pourquoi les éloignes-tu ?

         Moira et Sara se mordirent leurs lèvres prises en faute. Rafael jeta un mauvais regard à Ashula. Il répliqua :

— De quoi je mêle !

         Ashula pencha la tête de côté comme s’il réfléchissait. Puis sans prévenir, il donna un coup sur le crâne de l’adolescent. Celui-ci prit par surprise, couina de douleur.

— Parle-moi sur un autre ton, jeune homme.

         Portant une main à son crâne pour le frotter, Rafael fixait Ashula pensif. Ni Carline ni Luce ne voulaient intervenir. Ils observaient en silence. Finalement, l’adolescent baissa le regard en premier. Il inspira un bon coup avant de lâcher.

— Désolé.

         Ashula laissa échapper un soupir de soulagement. Il n’était pas du genre à être sec envers quelqu’un. Carline finit par s’approcher et pour détendre l’atmosphère, s’exclama :

— Oh lala ! Je ne t’avais jamais vu aussi sérieux, Ashula. Quelle classe !

— Tu voudrais bien éviter de te moquer de moi, mademoiselle !

— Moi me moquer ? Jamais de la vie ! Je suis un ange.

— Bah voyons ? Et où as-tu été cherché ça ma fille ? intervint Luce amusé.

         La jeune fille, les mains dans le dos, virevolta vers son père. Rafael songea qu’elle était fort jolie et féérique avec sa robe blanche.

— De toi mon cher papa. Ne dis-tu pas toi même être un ange ? Et je suis ta fille donc je le suis aussi.

— Mouais, un ange casse-pied surement, lança Rafael.

         Carline se tourna alors vers lui. Mal à l’aise face à son regard noir, il jeta un coup d’œil vers ses sœurs. Celles-ci s’étaient également approchées, mais elles discutaient avec Ashula. D’un seul coup, il sentit une main lui prendre une des siennes et le tirait.

— Bon pour te punir Raffy, tu vas être de corvée de grimper aux arbres pour récupérer mon petit Naru.

         Rafael ne tenta pas le moins du monde de s’écarter, mais il s’exclama :

— T’es bouché Carline ? C’est Rafael mon prénom !

— Oui, oui, je t’entends très bien.

— Et puis, il est hors de question de grimper pour aider ton stupide chat.

         Carline stoppa net et se tourna vers le garçon. Elle avait une lueur malicieuse.

— Si tu le prends ainsi, mais ensuite t’en veux pas si mes papas font une crise cardiaque parce que je serais tombée de l’arbre.

— N’importe quoi !

         La porte du salon claqua sur les deux jeunes. Luce émit un petit rire amusé.

— Carline est vraiment un ange, laissa échapper Ashula.

         Luce étonné se tourna vers le jeune médecin.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Parce que mon frère est vivant quand elle est là, lui répondit Moira.

— À la maison, il prend part aux tâches qu’on lui donne, mais il reste en retrait. Ludwig arrive parfois à le bouger surtout au garage. Sinon, il ne parle pas beaucoup. Parfois, il se rebiffe comme tout à l’heure. Enfin avec moi, c’est la première fois. Manu en subit beaucoup plus.

— Il a peur d’être trahi et de subir à nouveau. Carline est plus accessible, car elle a son âge. Elle ne cherche pas à le contrôler ou à le changer.

         Luce observa les deux jeunes filles.

— Vous avez l’air de beaucoup aimer votre frère.

         Moira et Sara se regardèrent un instant avant de hocher la tête.

— Je n’ai pas connu maman. Et sans Rafael, que serais-je devenu ? demanda Sara.

— Il faisait comme s’il nous aimait pas, comme si on le dérangeait, mais tous les matins, il nous levait pour l’école. Il nous donnait à manger jusqu’à se priver lui-même quand il n’y avait plus rien, reprit Moira. Il pouvait être colérique et il pouvait nous parler avec agressivité, mais jamais il nous a fait défaut. Comment ne pas aimé une telle personne ?

         Carline avait réussi. En soupirant, Rafael grimpa à ce maudit arbre afin de récupérer son stupide chat. Naru, évidemment, avait grimpé jusqu’à la dernière branche. Il miaulait à fendre l’âme. Ne sachant pas trop comment il parvint jusqu’à lui, Rafael l’attrapa en priant que ce matou ne décide pas à gesticuler dans tous les sens. Mais, Naru se laissa faire sans bouger un millimètre.

         Rafael descendit avec prudence. Il ne regardait pas vers le bas afin d’éviter d’avoir un léger vertige. Quand il atteignit presque le bas, un bruit retentit effrayant la pauvre bête dans ses bras. Naru s’éjecta de ses bras. Il retomba sur ses pattes avant de s’enfuir vers la maison. Rafael lui eut moins de chance. Il se retrouva ses les fesses. Il grogna.

         Carline accourue vers le jeune homme. Elle s’accroupit à ses côtés, inquiète.

— Est-ce que ça va ?

         Rafael eut du mal déglutiner. Elle était bien trop proche. Il parvint tout de même à hocher la tête. Elle eut un sourire de soulagement. Dieu ! Elle était vraiment jolie quand elle souriait. Pour échapper à son trouble, il se releva aussitôt. Carline gloussa. Avait-elle deviné son trouble ? Il enfonça une main dans son pantalon. Il sentit entre ses doigts le porte-clé. Il hésita un instant, puis il le sortit. Il le tendit à la jeune fille.

— C’est juste un petit cadeau.

         Carline, tout à coup intimidée, regarda le porte-clé en forme de palette imbibée de peinture avec un pinceau. Elle le caressa d’un doigt un peu tremblant. La veille, son frère lui avait remis du matériel de dessin de la part de Dorian, de Dan et de lui-même. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais elle était contente que Rafael lui offre un cadeau à part. Elle se sentait privilégiée d’une certaine façon.

         Carline releva les yeux et les fixa sur ceux bleu nuit du jeune homme. Sans prévenir, elle se pencha rapidement et déposa un baiser sur ses lèvres.

— Merci beaucoup, Rafael.

         Rafael fut tellement surpris de l’entendre dire son prénom normalement qu’il n’eut pas le réflexe de la garder près de lui. Il fut déçu quand elle s’éloigna un peu. La jeune fille se tourna à nouveau vers lui avec un large sourire.

— Veux-tu visiter ma demeure Rafael afin de mieux me connaitre ?

         Après un hochement de tête affirmative, Carline lui tendit une main qu’il prit sans hésitation. Avant d’arriver devant la porte d’entrée, elle s’exclama mettant à mal le garçon.

— Tu as passé le cap avec papa Luce, voyons comment cela va se passer avec papa Wan.

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Commentaires
R
Merci pour le chapitre 23, hâte de lire la suite. Par ailleurs, j'aime beaucoup votre saga familiale, c'est un pur régal malgré les fautes d'inatention et la conjugaison :))) encore une fois, j'attends la suite avec impatience. Au fait, dans "les spirales", il manque le chapitre 27 (les vacances de Noël, si ma mémoire est bonne). En attendant de vous lire, je vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d'année.
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